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Le Parisien parle de Livreatonvoisin ?>
  • 04 Dec
  • 2018

Le Parisien parle de Livreatonvoisin

A ROMAINVILLE, VANESSA LANCE SA PROPRE PLATEFORME

 

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Vanessa Hannachi a créé Livre à ton voisin. DR

 

Rendre service tout en rentabilisant son trajet : « Banco », s’est dit Vanessa Hannachi, l’année dernière, alors qu’elle avait invité sa sœur qui vit à Ermont (Val-d’Oise) à dîner chez elle, à Romainville.

« Elle était fatiguée, n’avait pas très envie de se déplacer et de se confronter aux embouteillages de fin de week-end, raconte Vanessa. Ma sœur m’a dit qu’elle aurait aimé qu’on lui dépose chez elle les plats que j’avais préparés. » La jeune femme trouve la suggestion intéressante et réfléchit à créer une plate-forme de livraison collaborative de colis, entre particuliers.

A pied, en voiture ou à vélo

Un an plus tard, le site web est lancé et s’appelle « Livre à ton voisin ». Vanessa réalise entre-temps que sa super idée, d’autres l’ont eue aussi. Néanmoins, la jeune femme motivée a posé ses jalons. « J’ai tout financé moi-même et confié la réalisation du site web à une société spécialisée, avec un cahier des charges précis », détaille celle qui est préparatrice en pharmacie depuis douze ans.

A pied, en train, en voiture, à vélo, en camionnette… Tous les moyens de déplacements sont proposés sur le site de Livre à ton voisin, ouvert sur la France et même l’Europe.

Les transporteurs d’un jour fixent eux-mêmes leurs tarifs, autour d’une quinzaine d’euros, par exemple pour un trajet francilien entre Créteil et Orly. Un contrat d’assurance protège les biens contre le vol et la casse, à hauteur de 2000€.

«C’EST FIABLE ET TRANSPARENT»

La première fois que Mathilde a eu recours à la livraison collaborative remonte à un an et demi. La future maman, qui vit à Paris, veut récupérer le matériel de bébé de son frère, installé dans la Creuse. Une poussette, une baignoire, une chaise haute et six cartons.

« Je voulais économiser sur ces équipements plutôt que tout devoir acheter, décrit la jeune femme qui travaille dans le marketing. Le problème, c’était le transport qui aurait été hors de prix dans un système traditionnel. »

Mathilde visite plusieurs sites. « Une fois postée l’annonce, j’ai eu plusieurs réponses », précise-t-elle. Le transport lui coûte une centaine d’euros. « Le fonctionnement est simple, fiable et transparent. On sait exactement ce qu’on va payer et ce n’est pas cher. »

Depuis, la jeune femme a fait appel au collaboratif, pour acheminer des cartons de pots de confiture et un fauteuil.

 

Merci pour cet article. 


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